Quand la douleur devient chronique…
La douleur dite « aigüe » agit comme un signal d’alarme utile pour informer l’organisme d’un danger. Sa prise en charge repose généralement sur des antalgiques avec un objectif curatif.
Quand la douleur évolue depuis plus de trois mois, elle devient « chronique ». Cette douleur chronique est une maladie en soi, lourde en conséquences physiologiques, psychologiques, économiques et sociales.
La sophrologie, approche complémentaire pour la gestion de la douleur
La sophrologie, si elle ne se substitue pas aux traitements médicaux en cours, est reconnue comme une technique complémentaire efficace dans le cadre d’une approche globale de la douleur. La sophrologie n’a pas pour vocation à faire disparaitre la douleur mais elle peut aider dans le chemin vers le mieux-être en agissant sur l’ensemble des composantes de la douleur : sensorielles, cognitives, émotionnelles, comportementales.
A travers des techniques que vous vous approprierez, vous apprendrez à prendre du recul sur votre corps et vos modes de pensées afin de mieux gérer votre douleur et son impact sur votre vie.
Vous apprendrez à :
- Vous détendre pour stopper le cercle vicieux des tensions corporelles.
- Mieux connaître votre corps et votre douleur pour mieux les maîtriser (facteurs augmentant ou diminuant la douleur, effets des diverses thérapeutiques).
- Améliorer votre sommeil pour mieux récupérer.
- Gérer les émotions négatives (stress, angoisse, anxiété, découragement, colère, culpabilité, dépression, etc).
- Prendre du recul pour vous distancier de la douleur et vous dégager de son emprise.
- Activer le positif en vous et la confiance en l’avenir afin d’optimiser vos ressources pour mieux vivre.
La sophrologie peut agir comme complément aux traitements en cours dans des cas comme : la fibromyalgie, les douleurs neuropathiques, les névralgies d’Arnold, les douleurs de dos (lombalgies, cervicalgies …), les douleurs articulaires, les migraines, les douleurs post-opératoire, etc.